Certaines entreprises commerciales ont bénéficié à plein de la mondialisation : réduction des coûts, économies d'échelle, optimisation fiscale, sans parler du traitement parfois peu respectueux des salariés. Il est de notoriété publique que les grandes entreprises paient – en proportion - moins de taxes, impôts et cotisations sociales que les petites. Or, la crise sanitaire actuelle fait que l'état va être sollicité à l'extrême, et aura donc besoin d'un maximum de financement, précisément via ces impôts, taxes et cotisations sociales.
Qui a le pouvoir d'influer sur la situation ? Le consommateur !!! Il faut que celui-ci choisisse, quand il a le choix, entre faire travailler une multinationale, ou une société basée à l'étranger, qui ne fournit que peu ou pas de retour à la collectivité, ou au contraire une entreprise nationale qui paie impôts et taxes pour alimenter l'énorme besoin collectif national....
Bien entendu, ce type de réflexion peut sentir un protectionnisme suranné, ou un repli sur soi qui n'est ni "tendance" ni souhaitable; en revanche, la situation de crise actuelle change la donne, et ce qui était finalement validé par nous tous peut être remis en cause, ou susciter une réflexion dépassionnée et sans à priori (ce qui nous change des sempiternels débats où l'on nous demande de choisir un camp, comme si nous n'étions pas capable de réflexion personnelle...)
Cher consommateur : tu as les cartes en main....
Solidairement
Michel MALATERRE
P.S. : sur le plan pratique, nous sommes fermés au public mais opérationnels pour les choses nécessaires et le service.
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